La Ferme-Asile invite Céline Masson et La folle Avoine pour une soirée de lectures augmentées estivales dans son jardin. Les artistes présenteront et donneront vie à leurs récits Zone disputée (2025) et Le cri du geai. Espace sous occupations sensibles (2024) édités chez art&fiction à travers deux performances qui mêleront poésie, gestes, images et sons.
Avec Zone disputée, Céline Masson compose une autobiographie avec des fragments de souvenirs, de documents et une bouleversante correspondance avec sa mère. C’est le récit de la reconquête de son corps tel qu’il a survécu et a trouvé son équilibre à travers les gestes, les images, le sport, la médecine et la mode que lui a imposés un coin de campagne vaudoise dans les années 1970 et 1980.
Le cri du geai de La folle Avoine interroge la notion de territoire : à qui appartient l’espace public ? Qui l’occupe ? L’autrice met en lumière la place de figures dominantes (la statue de David de Pury à Neuchâtel), tout en cherchant à offrir un refuge symbolique au cœur de la ville pour les mis au banc de la société (les pigeons). Sa lutte se déploie en douceur, en tentant de nouer des relations avec ses interlocuteur·rices. Sa volonté de créer des ponts vers l’autre se manifeste dans l’architecture du manuscrit, un collage qui forge de scène en scène un véritable réseau de sens. Sur papier, c’est une tentative de raccommoder les pièces rapportées de nos vies éclatées : des faits réels, des pensées, de la fiction, de la poésie, des formes de communication, des images, du vide.
La Ferme-Asile invite Céline Masson et La folle Avoine pour une soirée de lectures augmentées estivales dans son jardin. Les artistes présenteront et donneront vie à leurs récits Zone disputée (2025) et Le cri du geai. Espace sous occupations sensibles (2024) édités chez art&fiction à travers deux performances qui mêleront poésie, gestes, images et sons.
Avec Zone disputée, Céline Masson compose une autobiographie avec des fragments de souvenirs, de documents et une bouleversante correspondance avec sa mère. C’est le récit de la reconquête de son corps tel qu’il a survécu et a trouvé son équilibre à travers les gestes, les images, le sport, la médecine et la mode que lui a imposés un coin de campagne vaudoise dans les années 1970 et 1980.
Le cri du geai de La folle Avoine interroge la notion de territoire : à qui appartient l’espace public ? Qui l’occupe ? L’autrice met en lumière la place de figures dominantes (la statue de David de Pury à Neuchâtel), tout en cherchant à offrir un refuge symbolique au cœur de la ville pour les mis au banc de la société (les pigeons). Sa lutte se déploie en douceur, en tentant de nouer des relations avec ses interlocuteur·rices. Sa volonté de créer des ponts vers l’autre se manifeste dans l’architecture du manuscrit, un collage qui forge de scène en scène un véritable réseau de sens. Sur papier, c’est une tentative de raccommoder les pièces rapportées de nos vies éclatées : des faits réels, des pensées, de la fiction, de la poésie, des formes de communication, des images, du vide.
dates et horaires
Le jeudi 10 juillet 2025
19h
Durée : 1h
tarifs
-
Plein tarif
10.–
-
Tarif réduit
5.–