Sandra Tannous
Sculpteure, vidéaste et architecte de paysage, Sandra Tannous a réalisé plusieurs expositions collectives et solos au Québec, en France, en Suisse et au
Brésil. Elle vit et travaille présentement à Montréal. Elle détient un baccalauréat de l’Université Laval en arts visuels, elle a aussi étudié à l’École Nationale des Beaux-Arts de Bourges, en France ainsi qu’en Design de l’environnement et en
Architecture de paysage. En 2002, elle reçoit une bourse de recherche et création du Conseil des Arts et des Lettres du Québec. Depuis 2002, elle est membre co-fondatrice de la Coopérative Lezarts pour artistes en arts visuel et médiatique, et depuis 2016,
elle est agrée à l’association des Architectes paysagistes du Québec. Son intention est de créer des œuvres en milieu public des projets ouverts et physiquement accessibles, afin d’exposer l’ensemble des passants aux
potentiels paradigmatiques de l’art. Les jeux d’échelles (humaine/monumentale) offrent des possibilités exponentielles, tandis que les éléments existants (e.g. paysage, histoire, patrimoine, environnement, architecture) offrent une narration disparate à
partir de laquelle Sandra Tannous tisse un récit cohérent. En 2011, elle réalise ‘Laine d’Art’ à Ulverton et, en 2013, le projet ‘Lisière’ à St- Hilaire, deux projets réalisés lors d’évènements annuels destinés au Land Art. En 2012 elle conçoit le projet d’art public ‘Rassemblement’, qu’elle réalise en collaboration avec la coopérative Lezarts et le soutien du Ministère de la Culture des Communications et de la Condition féminine et l’Arrondissement de Ville-Marie de Montréal. En 2013, elle conçoit et réalise ‘Réverbères’ Bleus avec Delphine Quach, le projet d’art urbain réalisé à Montréal avec la collaboration de l’arrondissement Ville Marie. En 2016, elle réalise l’installation ‘Dans la maille urbaine’ présentée au Salon Mondial de Bâle et en 2017, dans la ville de Salvador, au Brésil, conçoit et présente les phases performatives de ‘Déploiement’, qu’elle présentera dans la même ville, en 2018, sous forme d’exposition au Goethe Institut.
