- Brigitte Crittin
- Catherine Glassey
- Paul Jenni
- Mireille Mercanton-Wagnières
Depuis le printemps 99, ces quatre artistes de la région genevoise mènent ensemble une réflexion sur le thème romantique et toujours actuel du passage inexorable du temps. Passé, présent, futur, bien sûr, mais aussi, genèse, enfance, jeunesse, déclin et mort présence, absence, souvenir, mémoire…
Brigitte Crittin explore les traits de son image d’hier, d’aujourd’hui et interroge celui de demain, Catherine Glassey se rappelle d’êtres chers par leurs mains, pieds et parcelles de visages en cire, le corps flottant dans un vêtement d’organza, Paul Jenni réalise des moulages de genoux de personnages de tous âges et les aligne ensuite pour former la colonne vertébrale d’une hypothétique créature préhistorique. Quant à Mireille Mercanton-Wagnières, elle enferme dans six spirales les marques du temps pour en matérialiser le passage. Ainsi se présentait une partie des créations exposées en 2000 à la Villa du Jardin Alpin de Meyrin. Succès complet. Les quatre plasticiens décident alors de prolonger l’expérience et de l’enrichir dans d’autres lieux. De nouvelles pistes de réflexion et de création se sont dessinées et ont pris forme depuis et c’est donc à la Ferme-Asile que le temps suspendra pour un temps son vol, interrogeant les visiteurs “temps et plus “jusqu’au dimanche 24 novembre.
- Brigitte Crittin
- Catherine Glassey
- Paul Jenni
- Mireille Mercanton-Wagnières
Depuis le printemps 99, ces quatre artistes de la région genevoise mènent ensemble une réflexion sur le thème romantique et toujours actuel du passage inexorable du temps. Passé, présent, futur, bien sûr, mais aussi, genèse, enfance, jeunesse, déclin et mort présence, absence, souvenir, mémoire…
Brigitte Crittin explore les traits de son image d’hier, d’aujourd’hui et interroge celui de demain, Catherine Glassey se rappelle d’êtres chers par leurs mains, pieds et parcelles de visages en cire, le corps flottant dans un vêtement d’organza, Paul Jenni réalise des moulages de genoux de personnages de tous âges et les aligne ensuite pour former la colonne vertébrale d’une hypothétique créature préhistorique. Quant à Mireille Mercanton-Wagnières, elle enferme dans six spirales les marques du temps pour en matérialiser le passage. Ainsi se présentait une partie des créations exposées en 2000 à la Villa du Jardin Alpin de Meyrin. Succès complet. Les quatre plasticiens décident alors de prolonger l’expérience et de l’enrichir dans d’autres lieux. De nouvelles pistes de réflexion et de création se sont dessinées et ont pris forme depuis et c’est donc à la Ferme-Asile que le temps suspendra pour un temps son vol, interrogeant les visiteurs “temps et plus “jusqu’au dimanche 24 novembre.
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Entrée libre
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