Comment choisir son vinaigre pour ne pas passer pour une pive? Balsamique ou pomme non-filtrée?
Enquête sur la vie bonne dans un récit de voyage aux couleurs italiennes.

Sous de faux airs de divagation autour de la formation artistique de l’auteure, Sfumato est un conte alchimique, un récit initiatique où la narratrice passe – selon la structure classique du genre – d’une quête de ses besoins vers celle de son désir. Dans une succession de vignettes visuelles et richement colorées, elle est tantôt déboussolée par son bagage d’historienne de l’art et tantôt orientée par des rencontres qui la prennent au dépourvu et qui lui indiquent que l’énergie vitale qu’elle cherche dans son commerce avec l’art n’est pas où elle le pense. Pivot du récit, une affiche portant une reproduction de la Joconde se retourne pour montrer son verso monochrome blanc, puis s’enroule pour former la fiole qui recèle l’élixir de vie qui apaisera la narratrice – pour un temps.

D’une écriture enjouée, l’auteure s’échappe des salles de musée vers les collines toscanes, flâne au marché et plonge dans les eaux vivifiantes d’une plage marseillaise. Au passage, elle aura pris des nouvelles de Vermeer et de Duchamp, se sera souvenue de Rosemarie Castoro et d’Yves Klein, mais n’aura toujours pas vu la Joconde en vrai.

 

Plus d’infos sur le site d’Art&fiction.

 

Comment choisir son vinaigre pour ne pas passer pour une pive? Balsamique ou pomme non-filtrée?
Enquête sur la vie bonne dans un récit de voyage aux couleurs italiennes.

Sous de faux airs de divagation autour de la formation artistique de l’auteure, Sfumato est un conte alchimique, un récit initiatique où la narratrice passe – selon la structure classique du genre – d’une quête de ses besoins vers celle de son désir. Dans une succession de vignettes visuelles et richement colorées, elle est tantôt déboussolée par son bagage d’historienne de l’art et tantôt orientée par des rencontres qui la prennent au dépourvu et qui lui indiquent que l’énergie vitale qu’elle cherche dans son commerce avec l’art n’est pas où elle le pense. Pivot du récit, une affiche portant une reproduction de la Joconde se retourne pour montrer son verso monochrome blanc, puis s’enroule pour former la fiole qui recèle l’élixir de vie qui apaisera la narratrice – pour un temps.

D’une écriture enjouée, l’auteure s’échappe des salles de musée vers les collines toscanes, flâne au marché et plonge dans les eaux vivifiantes d’une plage marseillaise. Au passage, elle aura pris des nouvelles de Vermeer et de Duchamp, se sera souvenue de Rosemarie Castoro et d’Yves Klein, mais n’aura toujours pas vu la Joconde en vrai.

 

Plus d’infos sur le site d’Art&fiction.

 

dates et horaires

19:00
le 17 mars 2022

tarifs

Entrée libre

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