La vie d’un photographe est souvent partagée entre une collaboration régulière avec un journal et un travail plus personnel qui révèle les aspirations profondes de ces être à haute sensibilité. Le Valaisan, natif de Corin, Bertrand Rey est de ceux-là et apprécie cette existence faite de complémentarité. Lui, dont le Nouveau Quotidien, devenu le Temps, s’attache les services depuis 1993, délaisse ainsi chaque année l’avant-scène de l’information pour des destinations où l’agitation occidentale fait figure de tempête dans un verre d’eau. Vietnam, Népal, Sri-Lanka, Laos, Inde, et surtout Birmanie : autant de pays où cet homme part à la rencontre de ses semblables, découvrant peut-être là-bas des faces encore cachées de sa propre identité.
L’exposition que Bertrand Rey présente à la Ferme-Asile est le fruit d’un travail de huit « campagnes » échelonnées sur autant d’années pour tenter de restituer le quotidien du peuple birman placé sous le signe de la foi. Tout d’abord, celui des moines : enfants ou vieux sages, dans la gaité ou la méditation, accomplissant avec égalité de noblesse toutes leurs tâches journalières. Ensuite, les Birmans eux-mêmes, encore ancrés dans leurs traditions quoiqu’arborant quelques signes de modernité, rencontrés dans des hauts lieux de pèlerinage à l’occasion de fêtes religieuses.
Les agrandissements de 1m par 1m50 qui peupleront les 800 m2 de la grange de la Ferme-Asile nous réservent les surprises d’une rencontre quasiment grandeur nature. C’est à ce corps à corps, qui devient dialogue entre âmes, que Bertrand Rey nous invite du vendredi 2 mai au dimanche 8 juin 2003, du mardi au samedi de 11h00 à 20h00, dimanche de midi à 16h00.
La vie d’un photographe est souvent partagée entre une collaboration régulière avec un journal et un travail plus personnel qui révèle les aspirations profondes de ces être à haute sensibilité. Le Valaisan, natif de Corin, Bertrand Rey est de ceux-là et apprécie cette existence faite de complémentarité. Lui, dont le Nouveau Quotidien, devenu le Temps, s’attache les services depuis 1993, délaisse ainsi chaque année l’avant-scène de l’information pour des destinations où l’agitation occidentale fait figure de tempête dans un verre d’eau. Vietnam, Népal, Sri-Lanka, Laos, Inde, et surtout Birmanie : autant de pays où cet homme part à la rencontre de ses semblables, découvrant peut-être là-bas des faces encore cachées de sa propre identité.
L’exposition que Bertrand Rey présente à la Ferme-Asile est le fruit d’un travail de huit « campagnes » échelonnées sur autant d’années pour tenter de restituer le quotidien du peuple birman placé sous le signe de la foi. Tout d’abord, celui des moines : enfants ou vieux sages, dans la gaité ou la méditation, accomplissant avec égalité de noblesse toutes leurs tâches journalières. Ensuite, les Birmans eux-mêmes, encore ancrés dans leurs traditions quoiqu’arborant quelques signes de modernité, rencontrés dans des hauts lieux de pèlerinage à l’occasion de fêtes religieuses.
Les agrandissements de 1m par 1m50 qui peupleront les 800 m2 de la grange de la Ferme-Asile nous réservent les surprises d’une rencontre quasiment grandeur nature. C’est à ce corps à corps, qui devient dialogue entre âmes, que Bertrand Rey nous invite du vendredi 2 mai au dimanche 8 juin 2003, du mardi au samedi de 11h00 à 20h00, dimanche de midi à 16h00.